Pour compléter l’étude biochimique des végétaux prélevés sur et autour d’un site d’atterrissage de type OVNI, il nous apparaît important de mener une étude des tissus et des cellules de ces mêmes végétaux. La méthode générale sera une comparaison systématique des différents organes et types cellulaires végétaux d’une même espèce prélevés à proximité et à plusieurs dizaines de mètres de l’épicentre. Nous rechercherons toutes les différences observables qu’elles soient macroscopiques, microscopiques, de l’ordre du fonctionnement de l’organisme ou de son développement. Plusieurs techniques sont envisagées.
Vous pourrez aussi être intéressé par
Comment faire si les traumatismes subis par les végétaux sont invisibles à l’œil nu ? Comment éviter de piétiner ces végétaux lors de l’approche de la trace par une équipe d’intervention ? Pour répondre à ces questions, nous proposons une méthode intéressante, basée sur l’imagerie de fluorescence.
Dosage des pigments photosynthétiques par chromatographie sur couche mince (CCM) et densitométrie. Protocole d’expérience inspiré des travaux du Professeur Bounias à l’INRA sur le cas de Trans-en-Provence.
Expérimentation de détection d’une rémanence thermique. Une simulation simple, qui image parfaitement le fait qu’un Ovni proche du sol, ou en contact avec celui-ci, peut laisser des traces persistantes dans le temps, dont certaines peuvent être invisibles à l’œil nu. Une analogie de la rémanence biologique, mais pas seulement.
Transformation d’un glacière du commerce en glacière à carboglace pour le transport d’échantillons végétaux.